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James Brown, Augusta 1969 : l’after show en vinyle !

BROWN James After Show Pochette

Si vous êtes parisien.ne, ruez-vous au rayon soul-funk de Gibert Joseph, Paris VIe, et procurez vous IMMÉDIATEMENT le vinyle “Live At Home With His Bad Self – The After Show” ! Il n’y en aura pas pour tout le monde !

C’est toujours pareil avec Mister Brown : dès que passe dans notre champ de vision un album live inédit, on se dit « Encore ?! Mais j’ai déjà… Heu… Je ne sais même plus combien de live du Godfather… » Et puis on retourne l’objet du désir-disque et on lit ce bref texte d’Alan Leeds (extraits) : « James Brown was home in Augusta… An hour after the red hot concert… [Publié en CD ou en double LP il y a peu, NDR] His goal was to record Spinning Wheel [gros tube de Blood, Sweat & Tears, NDR], having rejected the concert version for release… But first, Brown had a new jam he wanted to try out : Baby, Here I Come… [Que vous connaissiez sans doute déjà puisqu’elle figure dans la compilation “Motherlode”, mais dans une version éditée de 4’27”, alors que sur ce vinyle elle dure plus de 10 minutes !, NDR]… Included here are both [Marva] Whitney song [Respect et A Talk With James Brown / You Got To have A Job, vraiment trop funky, NDR]… As the Georgia night turned into early morning Brown wrapped the session with a brief take of Fat Wood, an instrumental the band had recorded a few weeks earlier… » 

Bref, IL VOUS FAUT CE VINYLE édité spécialement pour le fort décrié Black Friday ! (Qui a du bon malgré tout… Faites un effort : allez à pied chez Gibert, ça polluera moins.) Parce que même au beau milieu de la nuit, les musiciens du Hardest Working Man In Show Business ne peuvent pas s’empêcher de groover comme des malades. C’est plus fort qu’eux. Rendez-vous compte : dans “Live At Home With His Bad Self – The After Show”, il y a, entre autres, Fred Wesley au trombone, Maceo Parker au saxophone ténor, Jimmy Nolen à la guitare, Sweet Charles Sherrell à la basse, Clyde Stubblefield, John “Jabo” Starks et Melvin Parker à la batterie. Excusez du peu ! Ils devaient être épuisés, mais ils faisaient l’histoire, alors ils pouvaient bien dormir (encore) un peu plus tard que d’habitude… « Just another day on the road for the James Brown Show », comme le rappelle en conclusion Alan Leeds…

LP “Live At Home With His Bad Self – The After Show” (UMe / Import USA)